En cette fin damnée j’avais envie de parler de la mentalité, de l’esprit du jazz. Je vais caricaturer pour que ça soit plus simple et plus parlant. Dans le jazz on trouve deux catégories de personnes: les ayatollah qui en parlent mieux qu’il n’en jouent et qui croient appartenir à une sorte de société savante. A l’opposé il y a les musiciens de jazz qui jouent mieux la musique qu’ils n’en parlent. Derrière le mythe, ils veulent gagner plein de pognons, font des blagues de cul et boivent des canons. J’aimerais détendre les slips avec cet article afin que tous les gens qui sont ignorants, vulgaires et fêtards comme moi se sentent les bienvenus. Le jazz c’est du rock !
SEXE, DROGUE, ALCOOL ET JAZZ
Il ne faut pas croire que le jazzman est un musicien intello qui sort du conservatoire ou de la Berkley. Les Jazzmen étaient les premiers rockeurs et ils ne lésinaient pas sur les abus en tout genre. Les gars étaient alcoolos et camés: Charlie Parker, Lester Young, Billie Holiday, Miles Davis, John Coltrane, Pastorius. Chet Baker ou même Ray Charles étaient héroïnomanes. Bien sûr je ne fais pas l’apologie des drogues, je ne suis pas stupide mais si je dis ça c’est que ça doit avoir certainement son utilité. Tu ne le dis à personne mais en réalité je fais une chasse aux sorcières à l’arrogance académique et aux coincés du derche.
DJANGO L’INVENTEUR DU HEAVY METAL
Quand tu écoutes Django tu ne peux pas t’empêcher de te dire qu’il était avant gardiste. Un des passages de son chorus sur les yeux noirs fait vraiment penser à un riff de Metallica.
Télécharge la partition, le fichier audio et GP8 en haut de l’article si tu veux t’amuser sur ce riff et n’oublie jamais : Le Jazz c’est du Rock 🤘
Pour tous les Jazzmen décomplexés qui veulent apprendre la musique de Django en profondeur, je rappelle que j’ai crée une école en ligne : la Django licks Academy. Cette école est pour les vraies âmes sensibles. Fausses âmes sensibles et âmes coincées s’abstenir.
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